Dans mon cas, et j’étais pas le seul si je me fie aux posts de zzzamis sur Facebook et Twitter, c’était le festival du 404 et de la gelure. Me suis jamais rendu à plus de 205 participants (du moins, c’est ce que je voyais d’afficher sur mon tableau de bord). Paf! Ça plantait. Faut croire que le buzz entourant le buzzz a été plus grand qu’escompté et qu’on s’attendait pas à devoir recevoir toute cette belle visite! Quand le viral se fait drive-to-ouèbe, ça prend pas de temps que les machines font bzzzz!
Moi, j’en avais entendu parler seulement hier matin à la radio. Et toute la journée, j’anticipais l’expérience avec grand bonheur. Phoque la grosse bouteille d’eau de bureau, plutôt que d’attendre au lendemain, je pourrais échanger avec mes pairs… en temps réel!!! Not… ;-(
En fait, mis-à-part les ennuis de serveurs (ce difficile prix à payer quand on devient célèbre trop rapidement), le plus gros défi à relever pour les amis de buzzz sera de rendre l’interface plus ratoureuse, plus conviviale, plus grégaire. On sait qu’on a appuyé sur un bouton, mais on sent pas vraiment notre impact sur la chose. Bref, on a malheureusement plus l’impression d’être seul devant un ticker de Wall Street qu’en interaction de gang.
De fait, le party a plus pogné sur Facebook et Twitter où là, on avait l’écho des autres en temps vraiment réel. Ça permettait de voir d’autres points de vue, de réagir, d’argumenter, de se bidonner, bref d’interagir avec la crowd.
Buzzz-tv, ça fait pas ça – du moins, pas encore. Mais j’espère que cet mother of all test va permettre de faire progresser l’initiative, car malgré tout, j’suis certain qu’il y a là intérêt à continuer l’expérience, une fois que la fumée aura cessée de sortir des serveurs ;-)