Advenant un retard à payer, la mise montait à 3 bitcoins, soit quelques milliers de dollars, à défaut de quoi, les restaurateurs était menacés d’évaluations négatives sur Yelp, le Better Business Bureau et autres organisations de ce type, ainsi que de SWATing, des appels anonymes à la police pour rapporter des crimes violents ou des transactions de drogue à l’intérieur des établissements.
La particularité de ce type d’extorsion est qu’il est totalement anonyme, de l’envoi de l’avis d’extorsion aux actions jusqu’au paiement en bitcoins.
Domino’s en France a d’ailleurs récemment refusé de payer 40 000$ contre la menace de pirates de rendre publiques les informations privées de 650,000 clients de la chaine de pizza.
L’impression que l’on n’a pas fini d’entendre parler de ce nouveau marché lucratif pour les organisations interlopes.