Cannes, c’est un peu comme la pizza. Une pointe, c’est jamais assez. De fait, c’est même juste le début d’une expérience qui ne prend fin qu’une fois qu’on a fait le tour de la chose. Le problème, c’est qu’alors qu’on pense attaquer une Small, on réalise éventuellement qu’on avait devant nous (ou derrière?) une grosse Jumbo!
Comme chaque année, je me suis dressé une liste de conférences à voir (je vous en reparle au cours des prochains jours). Et comme chaque année, j’imagine que dans la tourmente publicito-cannoise, je vais n’en voir que la moitié. Pas grave. Y en a tellement, et y a tellement de matos à voir qu’une semaine, de toute façon, c’est jamais assez pour en faire le tour (c’est pour ça que j’y va à cinq, j’imagine ;-).
Et ça évidemment, c’est sans tenir compte des activités mondaine nocturnes. Veut, veut pas, après quelques jours – décallage aidant – l’effet post-Martinez te rattrape. Tu te mets à afficher en permanence un petit sourire niais, t’as le cheveu épars mais tu fais ta run de lait comme un grand, du petit matin au petit matin, jour après jour. C’est ainsi. Et voilà.
Bien entendu, j’en profiterai pour vous tenir au courant de mes découvertes et coup de coeur. Et si mon temps le permet (et si j’arrive à régler ce bog avec iMovie et ma caméra!), j’en profiterai même pour vous faire quelques pizzcasts (des vodcasts à la sauce pizza4all) en direct de Cannes! Bon, pas vraiment en direct, mais ça sera tout comme, vu que j’aurai 6 heures d’avance sur vous! J’en profiterai ainsi pour vous livrer mes impressions et jaser avec quelques festivaliers devant une bonne pizza niçoise au four et un petite verre de rosée. Je serai donc en quelque sorte, comme dirait mon pote Mario, votre Ouèbe Cannes ;-)
Santé!