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Pointe de conversation sur le BEC avec Valérie Charest
En agence, on est en face de leur pub tous les jours. Plusieurs fois par jour. Qu’on aille à la salle de bain pour satisfaire nos besoins naturels, ou pour pleurer un coup, le BEC est devant nous, avec nous. On jase de cette entité et des services qu’elle offre aux professionnels de la communication.
On le sait, en pu, tout va vite, la pression est là, la compétitivité aussi, Tout autant de compost pour fertiliser ce mal insidieux qui frappe régulièrement les travailleurs de la com. Et détrompez-vous, ce ne sont pas les « faibles » qui tombent. Des rock n roll stars de la pub en on souffert – et en souffriront. C’est juste qu’on le sait pas. Moi, je vous le dis – même et surtout si je ne suis pas une super star ! – j’en ai souffert. Quelques fois même.
Je ne me perçois pas comme étant quelqu’un de faible. Mais je me souviens qu’à l’époque, il était hors de question pour moi d’aller consulter. « Un psy, c’est pour les fous. Pas pour moi ». C’est fou penser ainsi, non ? Mais c’est ainsi. Les burn-out étant causés (en partie) par cette volonté » inconsciente d’aller au bout de soi-même, il est « normal » que les grands brûlés de l’âme ne peuvent même pas considérer composer un petit numéro de téléphone. Jusqu’au jour… où on finit par lancer la serviette.
SVP n’attendez pas. Si vous vous demandez si vous avez besoin d’aide, c’est probablement le cas. Ça ne vous coûte rien d’en jaser avec un professionnel. En fait, littéralement, ça ne vous coûtera rien. C’est anonyme, il n’y a pas de jugement. Et surtout, c’est une première étape vers une meilleure vie. Je vous le dis.
1 888 355-5548
Lisez l’article « Vivre le moment présent» publié sur le Grenier aux Nouvelles à partir de ce pizzcast. Pour en jaser sur Twitter, faites-moi un clin d’œil via le #GrenierMag et mon identifiant, @pizza4all.