Vous connaissez agentsolo.com? Moi non plus. En fait, c’est pas vrai. Voilà quelques mois, je n’en avais jamais entendu parler. Mais maintenant, travail autonome oblige, je sais. En deux mots, pas compliqué. C’est comme un headhunter, mais à l’envers… dans les deux sens. Je m’explique. Dans le modèle d’affaire des chasseurs de tête professionnels, ceux-ci chargent le client qui cherche un prospect. Le prospect lui, il a rien à faire, ni à payer. Bon, il peut bien essayer d’appeler le CT s’il se cherche un boulot, mais si ce dernier n’a pas de mandats pour lui, il va généralement lui suggérer de lui faire parvenir son cévé afin qu’il puisse éventuellement blablabla veuillez agréer… Bref, no money no candy. C’est celui qui cherche qui paie.

Dans le modèle agentsolo, c’est un tantinet différent. Ouais, celui qui cherche un pigiste paie (25$ pour un an, trouve, trouve pas). La beauté de la chose (pour agentsolo du moins;-), c’est que le pigiste paie également, et même plus que le chercheur (50$ pour 3 mois, de moins en moins cher s’il étire le contrat sur 6 mois, 1 an, trouve, trouve pas). Mais, l’autre beauté de la chose (pour le pigiste du moins;-), c’est qu’il peut également être membre invité, mais avec moins de privilèges qu’un membre privilège. C’est logique.

Mais mon point d’aujourd’hui n’était pas autant de commenter la carte de tarif d’agensolo (c’était juste pour que vous compreniez le service) plutôt que de féliciter une récente initiative de l’organisation faisant en sorte que dorénavant, les membres peuvent « fraterniser » entre eux via un modèle similaire à celui des ti zamis de Facebook ou des connections de LinkedIn. Donc, malgré leur status de pigistes solos, ils deviennent de moins en moins seuls. Très k@fétérien comme approche, on aime. Lâche pas Yves, on suit ça de près ;-)