Dans ces mêmes pages, un peu avant les Fêtes, je vous parlais de la campagne facebookienne entreprise par Chopin pour faire connaitre ses réalisations artistiques. Faut croire que l’art est un excellent générateur de créativité deuxpointszéroienne parce que je vous réfère maintenant à la campagne-qui-ne-s’en-voulait-pas-une-mais-qui-dans-le-fond-est-une-campagne-fichuement-bien-ficellée même si Julie, elle, voulait juste se débarasser de certaines oeuvres et exercices visuels.

C’est l’ami Alphonse qui avait entamé la discussion en commentaire à ce billet dont je vous parlais, et qui a récemment publier sur son blogue le cas de Julie. Je ne vous répéterai pas à nouveau ce qu’il va expliquer mieux que moi de toute façon, mais pour ceux qui se priveront d’aller lire son excellent billet, je vous résume. Julie veut vendre ses toiles. Elle crée un event sur FB, uploade les photos de ses toiles et utilise tout simplement (tout génialement) les fonctionnalités inhérentes à une page event pour créer un encan silencieux qui finalement fera beaucoup de bruit. Le flash? Les gens surrenchèrent en utilisant la fonction de commentaires des photos , favorisant ainsi la visibilité de l’encan à travers les réseau d’amis des amis invités.

Simple et efficace, comme on les aime. Attaboy… euh girl, Julie ;-)