Et dire que dans le jargon, on appele ça du qualitatif ;-)

La bonne nouvelle, c’est qu’avec le UGC, le mec pourrait faire son propre clip avec son foutu chimpanzé, la dame noire pourrait coudre des tonnes de logo sur des tonnes de chemises, etc, tout en laissant l’agence réaliser son propre concept. Mazette, en écoutant ça, ça m’fout des doutes sur la pertinence du book de Surowiecki.

Perso, j’ai toujours trouvé curieux ce type d’enquête que j’ai toujours prononcé en anglais Fuck Us Group sans vraiment le vouloir (c’est fort l’inconscient!). À moins d’être un vrai fan fini de Saint-Hubert et d’être fétichiste du miroir sans tain, j’ai toujours pensé que de laisser un groupe de gens n’ayant aucune compétence faire de la créa spontanée, en gang, c’était une perte d’argent et de temps. Personne veut avoir l’air idiot, tout le monde se force à dire quelque chose d’intelligent (sic). Quelque part, c’est tenter de rationaliser l’irrationnel. J’imagine qu’il doit encore y en avoir qui testent les campagnes virales et les édulcore. À voir la quantité croissante de clips « viraux » poches qu’on produit, c’est clair qu’y a du Fuck Us Group derrière tout ça ;-)
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