Le Mondial de la Bière de Montréal : brasser des affaires à l’échelle mondiale.

Dans ce pizzcast, on pique une pointe de conversation avec Jeannine Marois, présidente du Mondial de la Bière de Montréal.

L’événementiel est un monde immense qui carbure aux micros détails. Un petit oubli, un petit glitch et paf !, tout se met à débouler, comme un montage de dominos qui s’écroule.

Mondial de la Bière de Montréal

Jeannine Marois, présidente et Carole Plante, directrice du développement

Dans le cas du Mondial — ou des Mondiaux devrais-je dire, puisque l’organisation a fait des petits à Mulhouse en Alsace et à Rio de Janeiro au Brésil —, les défis sont multiples.

Oui, l’événement en tant que tel est le fruit d’une orchestration minutieuse dont la partition s’écrit un an à l’avance. Mais comme l’organisation s’occupe en plus d’importer (et d’exporter !) des produits brassicoles d’un peu partout sur la planète, c’est un exploit de logistique de mettre la bonne bière dans le bon bateau afin qu’il arrive à bon port. Et au bon moment, car la bière — contrairement à leurs amateurs ! – ça ne vieillit pas bien.

Sans compter leurs concours de bière qui implique là-aussi toute une autre logistique devant s’imbriquer dans le méta-plan.  Ouf, ça donne soif ! Et je ne suis pas le seul.

En 2015, mine de rien, l’organisation à reçu plus de 190 000 amateurs de bière pour son événement de Montréal, qui ne dure que 4 jours ! Depuis ses débuts, c’est plus d’un million de festivaliers joyeux qui ont eu le plaisir de déguster des centaines de bières autrement inaccessibles ici. Beer4all, c’est le cas de le dire ; )

On ne peut que leur souhaiter #pschitttt pour l’événement de 2016. C’est tout à mon intérêt, ma blonde y travaille ;)

Profession : dompteurs d'imprévusPour lire l’article « Profession : dompteurs d’imprévus » publié sur le site du Grenier aux nouvelles à partir de ce pizzcast. Pour en jaser sur Twitter, faites-moi un clin d’œil via le #GrenierMag et mon identifiant Twitter, @pizza4all.